Dans les travaux de finition d’une construction, le crépissage est une étape fondamentale qui permet de donner une belle touche et de l’esthétique aux infrastructures. Il existe diverses formes de crépis dont le choix repose souvent sur les moyens dont dispose le propriétaire.
Le crépi écrasé ce qu’il faut comprendre
Le crépi écrasé est la forme la plus modernisée qui existe sur le marché actuellement. Il est spécifiquement destiné à gens qui ont les moyens et qui recherchent de la modernité en ce qui concerne le rendu final de leur habitation. Visitez ce site internet lamaisondechloe.fr pour plus d’informations.
C’est un type de crépi qui valorise l’investissement et permet de garder les motifs qui apportent le grain du crépi. Il est très sensible à la saleté et est aussi avantageux en termes de coût. Raison pour laquelle, il est conseillé d’utiliser une lisseuse après avoir terminé la projection.
Le crépi taloché
Le crépi taloché est appliqué avec beaucoup d’exigences. Ces exigences tiennent plus compte de la durabilité que de l’esthétique. Mais il est moins salissant et beaucoup plus durable. C’est la meilleure solution pour une maison hydrofuge. La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez l’utiliser pour les finitions de l’extérieur et de l’intérieur.
Pour ce qui est du crépi taloché, il s’agit d’une technique dictée. Cette dictature ne tient pas à des besoins esthétiques, mais plutôt pour la durabilité de votre façade. Vous allez comprendre pourquoi les artisans maçons traditionnels l’adorent. C’est habituellement pour des fins de protection que les professionnels se tournent vers une technique pareille.
Le crépi projeté
Cette technique de crépi est la technique la plus utilisée par les professionnels de maçonnerie. Pour le réaliser, il vous faudra projeter le crépi sur le mur à l’aide d’une machine formée par une pompe et un malaxeur. C’est dans le malaxeur que se trouvent les différents éléments indispensables à la réalisation d’un crépi projeté.